Agenda ironique d’août – les résultats

Le mois d’août est fini, terminé l’été avec son air de douce insouciance, de délicieux farniente sur le sable, de liberté illusoire… ah, les vacances, ça passe toujours… comment dire, n’est-ce pas?

C’est la fin de l’agenda ironique de ce mois-ci également, c’est l’heure du bilan, du vrai.

And the winner is… précisons avant tout que c’était serré, très serré, que le choix a été très difficile, on a eu de très beaux textes, perso, je me suis bien régalée à lire vos participations, franchement, c’était chouette.

Bravo donc à notre cher Carnets paresseux qui arrive en tête – malgré sa paresse légendaire – avec son très savoureux Voir la mer.

Tout de suite, mais tout de suite après, à égalité, en lui collant aux baskets, viennent Différence propre et singularités avec son foufou, son très musical, bref, son excellent Mouiller la maillot et le Highway to hell de votre soussignée.

Tout de suite, mais tout de suite après, en leur collant aux sandales, arrive Mathurinades et coquecigrues avec son Trop mortelle la décapotable !, qui m’a fichu un peu la trouille à la fin, j’avoue, preuve que c’était fichtrement bien tourné.

Le Paysage d’août de Poésie de nature, ainsi que SUV qui peut (la vie) de Dominique Hasselmann et l’Embouteillage romain / Roman slowdown de Grain de sable arrivent tout de suite, mais vraiment tout de suite après, en leur collant aux claquettes.

Et la suite ? Et bien, en septembre, s’il veut bien, ce sera Dominique Hasselmann, désigné à grande majorité de votes pour organiser l’agenda ironique du premier mois de l’automne.

Merci à tous pour vos textes, vos impressions, vos commentaires, ah, c’était beau !